Dans les travaux discrets les manipulations décrites étaient réalisées sur des images et non sur des objets. Avec les home-mades le jeu est un peu différent. Plus classique presque.
Il ne s’agit plus de manipuler des images existantes mais bien de produire des images avec l’idée qu’elles peuvent devenir des scripts.
Pour le dire autrement, l’image ne se présenterait plus comme un objet fini à regarder mais comme une proposition permettant de rejouer ce qu’elle présente. Si cette proposition semble fonctionner d’un point de vue théorique, je ne suis pas sûr qu’elle puisse être lisible dans la pratique, tant l’image persiste à être perçue comme un objet fini. Ce qu’elle n’est plus.
Je me demande si l’expérience image-script ne va pas s’arrêter là… En tout cas sous cette forme.