• Un atelier visible :
Même confiné dans l’atelier tout travail a pour vocation d’être vu. Travailler en ligne est une façon d’être continuellement visible. Peu importe que les choses soient vues, l’essentiel c’est qu’elles soient visibles. Peu importe alors qu’elles soient ratées ou réussies, leur évaluation est de toute façon toujours différée par ce qui va les suivre et qui n’est pas encore apparu.
• Un exercice de lecture :
Ce qui est toujours déstabilisant avec les blogs c’est le temps qu’ils mettent en place : un temps à rebours. C’est-à-dire un temps instantané où tout se donne à lire à l’envers.
Rédigé au jour le jour, parfois dans un temps continu, le blog met en place un temps d’événements où le dernier événement apparait toujours comme le plus important (puisque c’est le premier qui s’affiche).
Le blog est un temps discontinu, un temps discret (lui aussi).