l’inventaire des destructions

A la mort de son amie Halszka en 1986, Roman Opalka a dû retourner à Varsovie chercher ses travaux. Après d’invraissemblables imbroglios douaniers, l’administration polonaise ne lui a laissé reprendre que trente tableaux, trente dessins, trente livres, etc. Ce choix fait, Roman Opalka a détruit tout le reste dans une fureur diaboliquement jouissive. (…)