premier degré

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« Le seul reproche que je ferai à l’exposition c’est d’avoir inclus Roy Lichtenstein. C’est d’avoir fait rentrer le pop art dans l’affaire de Monet. C’est-à-dire de jouer du second degré, là où Monet est exemplaire par le premier degré. Ce qui nous fait peur aujourd’hui c’est d’être au premier degré. Toute la difficulté, c’est d’être au premier degré pour nous. Le second degré on en a partout. Des produits dérivés qui sont là, aux expositions à Versailles. Le second, le troisième, le cinquième degré, il y en a pour tout le monde. Le premier degré c’est très difficile. »

Gérard Traquandi, sur France Culture, le 22 septembre 2010, à propos de l’exposition Monet au Grand Palais.

16 paysages avec retard

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(offset sur papier, 19 x 14,2 cm, 18000 exemplaires, en accompagnement de l’article de Michaël Batalla : « La méthode paysage. Prêter forme à l’observable », in Arts sacrés n°6, juillet-août 2010)

16 paysages avec retard

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